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Onéguine

d’Alexandre Pouchkine
mise en scène Jean Bellorini

théâtre musical

Grande salle

durée 2H

Onéguine

Représentations

  • je 13.03.
    19h
  • ve 14.03.
    20h
Onéguine

Résumé

Dans un murmure

Amours impossibles et tourments éternels sont au cœur de ce chef-d’œuvre de la littérature russe, signé Alexandre Pouchkine. Le metteur en scène Jean Bellorini en fait une expérience hypnotique, où le texte, murmuré à l’oreille du public, est sublimé par la magie des sons.

Revenu de tout, Eugène Onéguine fuit la vie mondaine de Saint-Pétersbourg pour mener une existence solitaire à la campagne. C’est là qu’il se lie d’amitié avec Lenski, un jeune poète, amoureux d’Olga. Dès leur première rencontre, Tatiana, la sœur d’Olga, se prend de passion pour Onéguine, qui l’éconduit avec indolence. Par orgueil et provocation, il préfère séduire la fiancée de son ami. Fou de douleur, celui-ci le provoque dans un duel fatal. Onéguine s’enfuit alors à l’étranger. Lorsqu’il revient, les années ont passé, la jeunesse s’en est allée. En retrouvant Tatiana, désormais mariée, il s’aperçoit, mais trop tard, qu’il l’a toujours aimée. De ce roman en vers qui conjugue la mélancolie, le romantisme, l’ironie et le drame, Jean Bellorini extrait une matière poétique et incandescente, pour une surprenante mise en scène sonore. Dans un dispositif bifrontal, muni de casques, le public est enveloppé par les voix des comédien·nes, formant chœurs et chuchotements, mêlées à des extraits de l’opéra éponyme de Tchaïkovsky et des sons suggestifs : crissement des pas dans la neige, tic-tac de l’horloge… Une immersion intimiste et hors du temps dans la langue somptueuse d’Alexandre Pouchkine.

Dans la presse

Ce spectacle cristallin est un délice.
TTT

Joëlle Gayot / Télérama

Cet Onéguine nous touche au plus profond, nous subjugue, parce qu’il nous est offert dans une traduction d’une beauté envoûtante.

Armelle Héliot / Le Figaro

Il y a là un effet hypnotique, le sentiment d’un rapport intime aux mots et aux acteurs qui vous projette dans un ailleurs, au plus près des errances d’Onéguine et de Lenski.

Marie-José Sirach / L'Humanité

générique

d’Alexandre Pouchkine
mise en scène Jean Bellorini

avec Clément Durand, Gérôme Ferchaud, Antoine Raffalli, Matthieu Tune, Mélodie-Amy Wallet

traduction
André Markowicz

assistanat à la mise en scène
Mélodie-Amy Wallet

réalisation sonore
Sébastien Trouvé

composition originale librement inspirée de l’opéra Eugène Onéguine de Tchaïkovsky enregistrée et arrangée par Sébastien Trouvé et Jérémie Poirier-Quinot

flûte
Jérémie Poirier-Quinot

violons
Benjamin Chavrier, Florian Mavielle

alto
Emmanuel François

violoncelle
Barbara Le Liepvre

contrebasse
Julien Decoret

euphonium
Anthony Caillet

production

reprise de la production déléguée Théâtre National Populaire
production Théâtre Gérard Philipe - CDN de Saint-Denis